La direction refuse de négocier un accord d’entreprise et veut imposer une hausse de cotisations salariales pour la mutuelle, essentiellement portée par les bas salaires, accompagnée d’une baisse en pourcentage de la contribution de l’employeur, et le financement à 95% par les salariés d’une augmentation des garanties là où le reste à charge pour le salarié a explosé suite à la mise en place du contrat responsable.
Le projet est cautionné par l’UNSA, dont les élus ont refusé de recourir à une expertise dans le cadre de la consultation du CE et ont tenu à rendre un avis, 7 jours après le début de la consultation, sans rien obtenir…